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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 15:33

 

Hommage...pensées...

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 20:10

 

 

Placées sous le signe de l'architecture, plusieurs oeuvres de mounir fatmi seront visibles ce mois-ci à Paris ou pas loin...

 

fatmi-Artparis.jpg

 

J'aime beaucoup cette photographie...

 

Et avec grand plaisir et curosité, il faudra aller découvrir les oeuvres que Marie Denis a concocté pour sa nouvelle exposition, "les yeux derrière la tête",  à la galerie Alberta Pane, à partir du 2 Avril

 

 imagemariedenischez pane

 

Galerie Alberta Pane- 14 rue St Claude- Paris 3ème

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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 21:19

 

parrLa rencontre inédite et insolite entre le photographe anglais et le quartier populaire de Barbès et de la Goutte d'Or risque bien d'être détonnant et surprenant.

Si on connait le style et la manière de regard que Parr porte sur ses contemporains, avec cette fausse innocence teintée d'une belle et acide ironie -kitsch life is bigger than art-, on connait peut-être moins le Martin Parr "simple" documentariste, à la manière Magnum, mythique agence dont il fait partie.

On pourra donc découvrir dès le 6 avril le fruit de cette résidence de Martin Parr initiée par Véronique Rieffel, directrice de  l'Institut des Cultures d'Islam, établissement lui-même ancré au coeur du quartir de la Goutte d'Or.

 

Parallèlement, on pourra découvrir le livre signé Véronique Rieffel "Islamania", ouvrage qui se veut entre l'essai et le livre d'art, avec de nombreuses contributions intellectuelles et littéraires, mais aussi artistiques parmi lesquelles celles de mounir fatmi et de Majida Khattari, artiste dont je viens de faire la connaissance et dont je reparlerai sans doute bientôt...

 

parr2.jpg

 

"The Goutte d'or! - L'institut des Cultures de l'Islam invite Martin Parr" - Du 6 avril au 2 juillet 2011

19-23 rue Léon - Paris 18ème

 

Crédit photos: Martin Parr/Magnum Photos - Institut des Cultures de l'Islam

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 09:38

 

 

 

Voici le printemps et le temps des salons du dessin, devenus incontournables ces dernières années.

Cette année, pour se démarquer du traditionnel Salon du dessin, qui a lieu, lui, au Palais de la Bourse, le salon du dessin contemporain s'appelle désormais Drawing Now, paraitra que ça fait plus contemporain...ce qu'il est, indéniablement.

 

drawing-now-paris.png

 

Beaucoup de galeries se pressent aujourd'hui pour participer à Drawing Now, toujours sous la houlette de Philippe Piguet. Parmi elles, on retrouvera:

La galerie genevoise Analix Forever, dans laquelle mounir fatmi a exposé récemment et que l'on retrouvera d'ailleurs sur le stand de ArtParis

L'Espace à Vendre/Le Cabinet, bien sûr, avec les dessins d'Emmanuel Régent, qui avait fait un énorme carton l'année dernière sur le salon

La galerie d'Isabelle Gounod, toujours subtile dans ses choix, ainsi que Marion Meyer Contemporain

La galerie Charlotte Norberg, avec cette année une nouvelle venue, Brankica Zilovic, mais aussi Juliette Jouannais et Anne Emery

Chez Olivier Robert, des dessins de Julien Beneyton, dont les peintures récemment exposées à la galerie m'avaient intéressée.

La galerie Bertrand Grimont poursuit son ascension et sera présente avec, entre autres, Jean-François Leroy ou Guillaume Constantin, actullement exposé à la galerie

A voir aussi, les stands de la galerie Alberta Pane -ex-KernotArt-, galerie de Marie Denis, dont j'apprécie toujours l'enthousiasme et la créativité et chez Samantha Sellem, les dessins de Marcos Carrasquer...cela me fait penser qu'il ne faut pas oublie de passer chez Arsenicgalerie, rue Guénégaud dans le 6ème, nouvelle galerie dédiée aux arts graphiques, où on peut voir actuellement des oeuvres de Ichiba, Nuvish et Moolinex.

 

La saison du dessin, c'est aussi Chic Dessin, à l'Atelier Richelieu. Ici , on pourra visiter les stands des galeries Talmart et Pierrick Touchefeu (qui exposera bientôt François Fries), mais aussi, et surtout, passer voir les oeuvres de Sandra Krasker sur le stand de Mondapart.

 

Après tout cela, il faudra encore trouver le courage d'arpenter le Grand Palais pour découvrir ArtParis. On y retrouvera donc mounir fatmi sur le stand d'Analix Forever, mais aussi Malachi Farrell, dont j'apprécie le travail, chez Patricia Dorfmann (qui est-fut?- la galerie de Zevs). Chez Lelong, il y aura sans doute du Toguo, qui reste une valeur sûre. Marion Meyer Contemporain fait coup double en prenant aussi un stand sur ArtParis, et chez Guy Pieters, il est probable que l'on trouve de la star belge, du Fabre ou du Delvoye. Olivier Robert, présent aussi sur ArtParis, montre l'oeuvre de Lionel Scoccimaro, que nous avions montré dans "Figure libre", artiste dont j'apprécie particulièrement le travail autour de la contreculture. Caroline Smulders et son ILOVEMY JOB présentera aussi du Emmanuel Régent, avec du Robert Longo, ce qui n'est pas mal! Et on retrouvera Laurent Perbos -qui fut aussi présent dans "Figure libre"- chez VIPart.

 

Je ne parlerai que peu du projets "Nuits parisiennes", dont les modalités d'accès me semblent tellement VIP que ça frôle l'incorrect. Dommage, on aurait pu voir du Farrell à l'Espace Ricard (ah, on me dit que là, le samedi sera entrée libre...), du fatmi à la Villa L. (????) et aussi une de ces fameuses fleurs de lotus respirantes de Choi Jeong Hwa.

 

 

Spring Break!

 

 

 

Salon du dessin - Palais de la Bourse (Palais Brongniart) dans le 2ème- 30 mars-4 avril

www.salondudessin.com

Drawing Now- Carrousel du Louvre, Paris 1er- 25-28 mars

www.drawingnowparis.com

Chic Dessin- Atelier Richelieu, Paris 2ème- 1-3 avril

www.chic-artfair.com

ArtParis-Grand Palais- Paris 8ème- 31 mars- 3 avril

www.artparis.fr

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 23:03

 

Quelques images de l'exposition, in situ...

 

 

 

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 20:14

 

fatmi-Lost-Spring-censored-1-.jpg

 

Présentée à Art Dubaï avec la galerie Hussenot, Paris, il semblerait que l'oeuvre de mounir fatmi, "Les printemps perdus"  n'ait pas eu l'heur de plaire à la censure souveraine...

Le galeriste, Eric Hussenot, rapporte:

 

"Cette pièce est composée des 22 drapeaux des pays arabes dont ceux de l'Egypte et de la Tunisie accrochés à des balais de trois mètres.

Le comité de censure a exigé que les brosses soient ôtées des pièces, ce qui dénature le sens de la pièce.

Jusqu'à aujourd’hui le comité de censure refuse à la galerie Hussenot de montrer la pièce en son intégralité."

 

La symbolique du balai, à l'heure où les manifestations au Bahreïn subissent les assauts des forces militaires d'Arabie Saoudite et des Emirats arabes, ne fait visiblement pas bon effet.

 

Avant de crier au droit à la liberté d'expression, et de contestation, et à la grande valeur de l'art engagé,  cette "mésaventure" me fait songer à deux choses: pour l'artiste, mounir fatmi, à ce que disait le philosophe Alain, à propos du Mythe d'Er (cf. Propos sur le bonheur - "Dans la grande prairie"). Et , de manière plus générale, qu'il est au fond pas inintéressant de savoir qu'aujourd'hui encore une oeuvre d'art puisse être considérée comme si dangereuse et subversive qu'il soit besoin de la censurer.  

 

01-Lost-Springs01-1-.jpg               02-Lost Springs02[1]

 

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 10:00

Les dramatiques images qui nous viennent du Japon m'évoquent ces deux choses: cette phrase du philosophe anglais du 16ème siècle "on ne peut vaincre la nature qu'en lui obéissant", et ces images d'un autre sublime:

 

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 10:59

 

Quelques clichés de l'exposition de Yassine Balbzioui, "The fish inside me", au Château de La Louvière à Montluçon jusqu'au 3 avril 2011

 

(Rencontre avec l'artiste le 25 mars à partir de 18h)

 

yassine2

 

 

 

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 21:47

 

L'ouverture d'une nouvelle galerie, en ces temps de crise, est un véritable challenge. Et ouvrir une galerie principalement dédiée à la création graphique alternative, qui pour avoir son public et ses lieux, reste souvent confinée à une diffusion underground et des lieux eux aussi alternatifs - librairies ou éditeurs spécialisés- en est un également.

 

Judith Schoffel et Christophe De Fabry tentent donc cette nouvelle aventure, avec dans leurs bagages l'expérience acquise dans un tout autre domaine de l'art: celui de l'Art primitif, dont Judith Schoffel est experte, auprès de sa mère Christine Valluet, dans la galerie Schoffel-Valluet.

L’idée d’ouvrir Arsenicgalerie, comme un département spécifique et indépendant d'une galerie historiquement dédiée à l’Art primitif est ainsi née de leur passion commune pour l’art contemporain -et en particulier pour la création graphique alternative- mais aussi pour des mouvements artistiques tels que le surréalisme ou l’art brut.

Pour eux, il n’y a pas de rupture radicale entre les mondes anciens et le monde contemporain, mais une réactivation permanente de questionnements, de peurs, d’espoirs fondamentaux, dans la recherche d’une même unité première, d’une même manière d’aller à l’essentiel.

Cette recherche de l’essentiel est précisément ce qui constitue le coeur du projet de la Galerie.

 

D’une manière ou d’une autre, parce qu’elles renvoient aux mouvements les plus intimes des passions humaines, les oeuvres exposées à l’Arsenicgalerie promettent de ne jamais laisser indifférent.

 

La première exposition d’art contemporain de l’Arsenicgalerie explore donc les expressions les plus primitives et les plus intimes de trois artistes aux univers et aux horizons différents mais qui tous, sur les terrains fertiles de leurs imaginaires débridés, manifestent avec énergie, humour, violence, leur sensibilité aux réalités protéiformes du monde contemporain.

 

DAISUKE ICHIBA (Japon)

 

ichiba2.jpgAux frontières du graphisme trash, du comic-book, de l’art contemporain et de la poésie, l’art de Daisuke Ichiba est cependant profondément irrigué par la tradition et la culture japonaise.

Réalisant la synthèse du manga et de l’estampe, son univers, entre cauchemar hallucinatoire, folie et érotisme, se nourrit des codes des uns et des autres. On y trouve pêle-mêle le personnage récurrent de l’écolière, triste et souvent borgne, qui semble renvoyer au « daruma », des yakuzas et des samouraïs, mais aussi des êtres étranges, monstrueux ou grotesques, évoquant la figure ancestrale du « yokaï », tels que l’on peut en rencontrer dans les mangas de Shigeru Mizuki ou les films de Miyazaki.

Son traitement de la violence, dans lequel se côtoient le sexe, la jeunesse et la mort, son humour noir, combinés à un trait ciselé, un sens du motif et du détail, le définissent comme « bijin-gaka » (« peintre de la beauté »), une beauté vue comme l’autre visage de l’abject.

« L’humain », dit Ichiba, « réunit la tendresse et la violence. Si vous dépecez le visage d’une jolie femme, vous trouverez chair et viscères. Choisir de créer quelque chose qui n’est que beau est superficiel. C’est pourquoi je peins les deux. On ne peut pas les séparer. L’expression qui en résulte est le chaos. Dans mon travail, je projette le chaos, l’anarchie, l’anxiété, le grotesque, l’absurde et l’irrationnel.En faisant cela, j’atteins une harmonie. C’est mon art. Pour dire simplement, je peins l’humanité »

Daisuke Ichiba ne craint pas d’affronter les « monstres », qui ne sont pas ailleurs mais en nous, à l’instar de Mishima ou Izumi. Son oeuvre gothique se dessine comme l’envers ou l’ombre du masque « Kawaii ».

 

Figure de la contre-culture nipponne « otaku », Daisuke Ichiba, né en 1963, fut fortement marqué par l’âge d’or du manga et les avants gardes. Il commence à peindre à la fin des années 80 et dans les années 90, il auto édite son premier livre « 37 years old bastard ». Depuis, il publie environ un livre par an. Remarqué par le grand dessinateur manga Takashi Nemoto, en 2006, il est publié par Le dernier cri et Le lézard noir. Depuis quelques années, Ichiba s’essaie également à la photographie.

 

 

NUVISH (France)

 

nuvish.jpgNourri aux comics underground américains comme aux maîtres de l’art brut, le travail de Nuvish « s’inscrit comme un chaînon manquant entre un art naïf et populaire », l’exécution presque austère d’une gravure de Dürer, et l’expressionnisme d’un Otto Dix. Son dessin d’une obsessionnelle précision et le caractère torturé et onirique des images et des thèmes développés le place naturellement auprès des singuliers de l’art.

Ni plasticien, ni vraiment peintre, Nuvish Mircovich développe un travail graphique à la marque très personnelle, emprunte d’une atmosphère surréelle et parfois inquiète.

La grande minutie d’exécution dans le dessin, le trait, le souci du détail rapproche sa production de l’esprit et d’une certaine tradition des miniaturistes médiévaux et des gravures curieuses « où sont convoqués les tourments de l’âme et du corps, la nature indomptable et l’humilité de l’homme face au divin arrangement du monde ».

Le monde de Nuvish se dessine à la fois comme une nef des fous, un jardin des délices et un purgatoire, évoquant aussi les univers oniriques et parfois mystiques de Bosch ou de Bruegel l’Ancien, entre allégorie, fantasmagorie et surréalisme.

 

David Mircovich, alias Nuvish, né en 1975, vit et travaille à Grenoble. La pratique du dessin occupe sa vie depuis son plus jeune âge. Si ses oeuvres sur papier ont déjà été montrés en de nombreux lieux d’art et galeries, dans le cadre d’expositions personnelles et collectives, elle a aussi été largement éditée, notamment par l’éditeur indépendant et collectif artistique « Le dernier Cri », expérimentation éditoriale et radicale menée par Pakito Bolino et Caroline Sury depuis plus de quinze ans à Marseille. Nuvish a par ailleurs publié dans le cadre d’une commande une série de grands dessins sur la psychanalyse pour le quotidien «Le Monde». Il a aussi participé à plusieurs films d’animations en collaboration avec le Dernier Cri dans le cadre d’une coproduction de CANAL+. Ces animations éditées en DVD/VHS ont connu plusieurs diffusions télévisées.

 

 

MOOLINEX (France)

 

moolinexL’art de Moolinex est un  art sans censure et sans compromis, parfois ludique, souvent cynique, et quoiqu’il en soit hors des conventions. Dans un foisonnement visuel aux références tout azimuts, il aime à superposer les mondes, de la bande dessinée, de la peinture, du graphisme, de l’art brut et de l’art contemporain. Ses travaux sont autant de clashes esthétiques et culturels, dans lesquels s’entrechoquent les imageries populaires, le rock, le monde ouvrier, l’école, l’évocation du 3ème Reich, les calaveras à la mexicaine jusqu’aux tapisseries et aux napperons brodés au point de croix. La vie, l’amour, le sexe, la mort…dans un esprit finalement plus punk et décapant que  potache. Un monde singulier, cruel, politique, ou l’idiotie côtoie l’ironie de manière radicale avec un humour grinçant, refusant l’esprit de sérieux, les dogmatismes et les raccourcis idéologiques.

Certaines des œuvres de Moolinex exposées ici se présentent comme une sorte de « matrice » de travaux publiés ailleurs, au travers de séries de dessins en noir et blanc moins narratifs qu’à l’accoutumée. Entre l’homme machine et la brutalité de la nature, elles semblent opposer une prolifération organique à l’idée d’un réseau connectique, cables, prises et fils électriques, à la technologie et à l’impérialisme machinique, qui prend aussi le visage inquiétant d’un barillet de revolver. Les références s’entrecroisent et se multiplient.

 

Né en 1966 à Nogent sur Marne, Moolinex vit et travaille à Poitiers. Plasticien complet, il expérimente tous les médiums et tous les supports avec la même curiosité : typex, collages, découpages, peinture, dessin, assemblages, canevas,feutres, sculpture, peintures, canevas, collages… Musicien, il joue avec le groupe Magnétix.Moolinex navigue ainsi depuis plus de quinze ans dans les univers underground. Il a beaucoup travaillé avec des structures d'édition  indépendantes comme les Requins Marteaux ou Le Dernier Cri ou encore le collectif Ferraille dont il est un des membres fondateur. Moolinex développe depuis quelques années, à travers des carnets très singuliers, le concept bien personnel d' « Art Pute ». Il a été montré à Paris par le Regard Moderne et la galerie Arts Factory, mais aussi, entre autres à La Mauvaise Réputation (Bordeaux) et au Musée International des Arts Modestes, à Sète.

 

 

« LES PRIMITIFS CONTEMPORAINS » - ARSENICGALERIE

Du samedi 19 Mars au samedi 16 Avril 2011

Vernissage samedi 19 Mars à partir de 16h

14 rue Guénégaud- Paris 6ème

www.arsenicgalerie.com

contact@arsenicgalerie.com

Tel : 06 12 94 13 33 ou 06 63 75 50 89

 

Textes réalisés à l'occasion de l'exposition pour l'Arsenicgalerie.

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 09:39

 

Dans l'exposition "Seconde peau, seconde vie", dont j'avais été commissaire avec Isabelle Vernhes en 2009, nous avions invité l'artiste  Alexandre Suntta Li, artiste d'origine chinoise , né en Corée du Sud et vivant à Paris, pour une installation textile. Suntta Li fait partie d'un collectif d'artistes, Up, dont on peut voir les dernières créations en ce moment même, à la Galerie-Librairie Impression.

Avec aussi: Jean-François Leuret, Valérie Robert, Olivier Guilbaud et Sylvie Léger

  "Up", Du 3 mars au 2 avril 2011 - Galerie-librairie Impression-98 rue Quincampoix- Paris 3ème-   

Visible le mercredi entre 18 et 20h et le samedi de 14 à 20h - www.exposition-up.fr

 

Dans la même exposition, il y avait Miguel Angel Molina, artiste dont j'apprécie les recherches formelles. On pourra le retrouver dans le cadre de l'exposition "Commettre", organisée par le collectif Kurt-forever, Du 12 au 20 mars, au 6B, nouvel espace d'art 6-10 quai de Seine à St Denis.

Avec aussi:

nadia agnolet / raphaël barontini / amélie bertrand / clément borre / roxane borujerdi / sébastien

busson / vincent busson / axelle cannet / ariel fleiszbein / benoît géhanne / edgar guilmoto /

nicolas malclès-sanuy / françois mendras / rosa mesa / nicolas puyjalon /

taroop & glabel / céline vaché-olivieri

 

Capucine Vever, que nous avions invitée en tandem avec Amélie Deschamps lors de notre exposition "Figure libre", expose pour 3 jours, jusqu'au 5 mars, à l'Espace117, 117 rue St Dominique dans le 7ème, avec Salma Cheddadi et Lukasz Drygas.

 

 

nostalgia-1-.jpgSoazic Guezennec, quant à elle, fait sa première exposition indienne: "Nostalgia, Pride and Fear", à la BMB Gallery, à Mumbai, avec aussi: Allison Kudla, Ratna Gupta, Tatiana Mursi et Teresa Gruber.

DU 9 mars au 9 avril 2011 - www.gallerybmb.com

 

 

 guillotel.jpg

 

 

 

 

Exposition personnelle de Anne Guillotel au Centre d'Art Contemporain APONIA, à Villiers-sur-Marne, du 19 mars au 17 avril 2011-  6 Avenue Montrichard- 94350 Villiers sur Marne- Entrée libre- Ouvert le samedi et le dimanche de 14 à 19h , les autres jours sur rdv. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Galerie Bertrand Grimont, qui nous avait permis de montrer le travail de Cyril Hatt, expose Guillaume Constantin, à partir du 12 mars, dans une exposition intitulée "un nuage d'incertitudes"

Galerie Bertrand Grimont- 47 rue de Montmorency- Paris 3ème

 

La Galerie Marion Meyer Contemporain, qui nous avait quant à elle permis de montrer le travail de Guillaume Poulain, présentera du 10 mars au 23 avril l'artiste Stéphane Bérard, dans un dispositif intitulé "Brutal Warburg"

Galerie Marion Meyer Contemporain- 3 rue des Trois Portes- Paris 5ème

 

Le peintre Hervé Ic, dont j'ai découvert récemment le travail, participe à une exposition collective dont le propos me semble intéressant: "Des limites de ma pensée", sur une proposition de Stéphanie Katz, avec aussi: Carole Benzaken,  Grégory Forstner, Thomas Fougeirol

A la Dubois Friedland Gallery, 3 rue du Prévôt à Bruxelles, du 18 mars au 7 mai 2011

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