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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 09:27

Merci à Julie Perin et Aternatif-art pour cette vidéo d'exposition, fait dans le cadre de l'exposition Miniartextil de Montrouge, qui montre de belle manière les "flower power" et "champions'league" de Mai Tabakian, que l'on pourra retrouver dès le 4 avril à la galerie Mondapart, Boulogne-Billancourt, dans ma prochaine exposition "Beyond my dreams"!

 

 

Miniartextil - jusqu'au 24 février, Le Beffroi de Montrouge

 

BEYOND MY DREAMS- Du 4 avril au 4 mai 2013 - Galerie MondapArt- Boulogne Billancourt

-Plus d'infos soon....-

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 00:18

La performance "L'Offrande", de Stefano Cassetti s'est déroulée dans la nuit du samedi 6 octobre, Nuit Blanche parisienne...Merci à tous ceux et celles qui y ont participé.

 

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"Ma couche", 2010 - Oeuvre de Yveline Tropéa au rez-de-chaussée

 

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Il fallait être un peu patient pour accéder à la performance...Merci à ceux qui ont su attendre...

 

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 09:27

Vendredi 5 octobre, vernissage de "Repeat me", le Pattern show du 22DS, qui inaugure, d'une certaine manière, l'ICI, lieu de soutien de la création contemporaine, sur l'initiative de Christine et Nicolas Bard, bien connus à Montreuil pour leur "activisme" pro-montreuillois (MadeInMontreuil, c'est eux!)

 

 

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 Frédérique Vernillet sur fond de son installation

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 Negare

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 Leitmotiv

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 La maison de Liouba

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Merci à Laurent, David, mais aussi Pierre et German pour leur aide, d'une manière ou d'une autre, pendant le montage de cette exposition...

 

Repeat me Pattern Show - Jusqu'au 14 octobre 2012- A l'ICI - 135 Bld de Chanzy- 93100 Montreuil

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 22:37

NuitBlanche6

 

 

Une Nuit Blanche à Paris. Comme chaque année, pour la 11ème fois consécutive, une foule de curieux, d’amateurs, d’esthètes, déambulent dans les rues de la ville, d’art en art, d’œuvre en oeuvre.

Mais cette année, tandis que dehors se vit l’agitation d’une nuit sans sommeil, au sous-sol de la Galerie Talmart, un homme sera plongé dans le plus profond des sommeils, son corps abandonné offert au regard, et peut-être plus encore…, des visiteurs. Et chacun, seul avec lui dans le secret de la chambre, pourra goûter cette « offrande » que Stefano Cassetti fera de lui-même ce soir-là.

 

OFFRANDE – nom féminin – Synonymes : cadeau, don, donation, libéralité, hommage, libation, oblation, présent, sacrifice – Etymologie : du latin médiéval offerenda : choses qui doivent être offertes

S1- Ce qui est déposé dans un temple avec une intention religieuse

S2 – Ce qui est donné en signe de dévouement

S3- L’offrande est un don sans contrepartie ni limite temporelle.

Désintéressée, l’offrande n’a aucune valeur d’échange et ne suppose aucune réciprocité.

La valeur essentielle de l’offrande réside a priori dans la pureté de son intention.

Le receveur n'est pas tenu de rendre ce qui est offert ou sa contrepartie en valeur.

Cependant, dans la vie sociale, le don peut appeler, implicitement ou non, au contre don.

Le don/contre don place alors l’acte d’offrir au centre de l’éthique relationnelle : donner, recevoir, rendre.

En principe, la réciprocité de l’acte annule la valeur matérielle des dons pour y substituer la seule valeur (sociale) d’échange.

 

 

Stefano Cassetti, par cette performance, tente une double expérience : d’une part, celle de choisir de « se donner », sans contrepartie, au travers de ce corps offert, inerte, au libre-arbitre des visiteurs. D’autre part, celle, par cette « mise en sommeil », d’abandonner son propre pouvoir d’action. Car pour lui, si l’offrande ne s’entend que sans manière aucune de se dédire, par le réveil ou la réaction, son état proche de l’inconscience réduit sa volonté au minimum.

 

Même si cette performance s’inscrit dans la lignée historique de l’art corporel, se plaçant dans une situation déstabilisante ou périlleuse pour son intégrité, mettant son corps et ses limites à l’épreuve - « je mets mon corps et mon nom en jeu » dit-il -, son action s’inscrit en quelque sorte en rupture avec cette forme d’expression. Stefano Cassetti tente ici de dépasser, ou au moins de décaler, ce qui caractérise la plupart des expériences d’art corporel depuis les années 60 : exploration de la souffrance et de la douleur, de la corporéité brute, réflexion sur les questions de genre, d’identité, sur la sexualité, dimension politique du « corps social ». Autant d’expérimentations qui sont, pour Stefano Cassetti, mis en spectacle et destinés, peu ou prou, à produire un effet sur le spectateur, à entrer en relation, par le geste et ce qu’il peut susciter, avec un public.

Dans L’offrande, l’artiste entend se débarrasser de cette condition. Ici, la conscience, et l’ego de l’artiste, et avec eux la conscience de la manière dont ce qui est offert peut être reçu, sont retirés. Se privant de tout état de conscience, l’artiste « se libère de ce poids d'avoir donné à monsieur X cette vision, ce contact, cette chaleur, ce sentiment, ce frisson, ce froid… et d'en être le responsable, la cause, la source. » Ne reste alors que le corps offert, certes, mais sans attente, ni spectacle, ni obligation de réussite, ni effet. Une performance « minimaliste », plus proche, peut-être, du rituel que du spectacle. Geste sans geste, action sans action, là où la raison calculatrice gouverne souverainement, cette tentative de don de soi sans contrepartie possible, fût-elle narcissique, tient de la subversion.

Avec cette performance dont le corps reste le cœur, dans sa nudité symbolique, sa vulnérabilité réelle, exposé dans tous les sens du terme, sans recours ni sécurité, Stefano Cassetti affleure à un niveau éthique. Celui dans lequel, pourrait-on dire à la manière de Levinas, l’asymétrie de la relation et le refus de la réciprocité, quand bien même s’agirait-il de générosité, incite, quelle que soit l’intention de l’artiste, à s’interroger sur l’altérité, autrement dit, l’humanité de l’autre homme.

 

 

 

Né en 1974 en Lombardie, au bord du Lac de Garde (Italie), Stefano Cassetti vit entre Paris, Berlin, et le Lac de Garde.

Etudiant à l’Ecole polytechnique de Milan, il obtient, en 1999, un doctorat de l’Université d’Architecture, en Dessin Industriel.

Dès 1997, il produit des vidéos et des installations, en Italie, en Suisse et en France et a réalisé, depuis 2003, un certain nombre de performances. Il a ainsi récemment expérimenté deux performances : La Tisane de Montbéliard, en mai 2012, invité par la « Nuit des musées » (commissaire Aurélie Voltz, directrice du Musée de Montbéliard) et Interstices, en juillet 2011, dans le cadre du Festival FAR/fabrique à rêves (commissaire Judith Guibert par le6B, Saint Denis).

En 2001, Stefano Cassetti démarre une carrière de comédien dans le cinéma français et italien, avec le rôle principal du film Roberto Succo, de Cédric Kahn, sélectionné à Cannes. On a pu le voir ensuite, entre autres, dans Nemmeno il destino, de D. Gaglianone (Italie), sélectionné à la Mostra de Venise et primé à Rotterdam en 2005, Il resto della notte, de F. Munzi (Italie), sélectionné à la  Quinzaine des Réalisateurs à Cannes en  2008, Un poison violent, de K. Quillevere (France),  Prix Jean Vigo en 2010 et sélectionné pour la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2010, Le paradis des bêtes, d’E. Larrivaz (France), Prix du public au Festival d’Angers en 2012.

Stefano Cassetti sera à l’affiche de 3 films en 2013 : Michel  Kohlhaas, de A. De Pallières, Terzo tempo, de E.M. Artale et Jeune et jolie, de F. Ozon.

 

 

install-lit-5.jpgAu rez-de-chaussée, la Galerie Talmart reçoit « Ma couche », installation sculpturale de Yveline Tropéa. Cette œuvre occupe une place particulière dans le travail de l’artiste, tout en recelant, comme à l’accoutumée, force éléments autobiographiques masqués et représentations symboliques Le « lit de jeune fille », au style baroque presque rococo, avec la fantaisie de ses lignes courbes, ses teintes pures de blanc et d’ivoire, et richement brodé de scènes d’inspiration autant psychanalytique que religieuse, fait écho à la figure de la madone, figure récurrente dans son oeuvre.

Si au premier regard, ce lit semble être la couche d’une jeune vierge, lieu d’innocence et de pureté, dans le sommeil et la chasteté, des éléments iconographiques nous renvoient d’emblée vers des zones d’ombres. De sa pureté initiale, le lit peut se faire lieu de la trahison, de l’adultère, du mensonge…

L’artiste le vit alors comme une « empreinte de mémoire » : le temps passé, le rêve, les espoirs, la vie, mais aussi la désillusion, les amours égarées, la colère... Il est enfin premier et dernier lieu de vie.

Peu de pièces usuelles de mobilier sont si chargés émotionnellement et symboliquement. A la recherche d’une innocence perdue, cet hôtel, magnifié et en quelque sorte « sacralisé », tient lieu d’autel.

Installés sur cette couche délicate, les visiteurs pourront patienter avant de découvrir la performance de Stefano Cassetti.

 

 

 

LA NUIT DE L’OFFRANDE

Avec la performance L’offrande, par Stefano Cassetti

et une œuvre de Yveline Tropéa

Samedi 6 Octobre 2012 à partir de 21h

Galerie Talmart - 22 rue du Cloître Saint-Merri - 75004 PARIS

www.talmart.com 

 

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 13:04

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Et je m'occupe de la partie "exposition"...

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 13:00

NuitBlanche6

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 10:24

Comme chaque année, la Nuit Blanche parisienne est l'occasion d'évènements artistiques censés nous tenir éveillés jusqu'au point du jour.


Mais cette année, tandis que la foule des curieux déambulera d'un lieu à l'autre, espérant trouver de quoi se nourrir en regard et en sensations, à la Galerie Talmart, un homme dormira, tout entier offert au regard, et aux mains, des visiteurs.

 

Ce sera "la Nuit de l'Offrande"...

 

Plus d'infos à venir, très bientôt

 

 

"La Nuit de l'Offrande" - Nuit du 6 octobre 2012, galerie accessible dès 19h30, performance à partir de 21h.

Galerie Talmart

4 Rue du Cloître St Merri - Paris 4ème

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20 juillet 2012 5 20 /07 /juillet /2012 23:55

J'aurai dans les semaines à venir l'occasion de reparler de ce salon, réunissant 22 designers textiles, et dont je suis commissaire pour la partie "exposition".

3 espaces, espace professionnel à accès privé, shop et exposition, donc, dans un espace de 200m2, dans un tout nouveau lieu à Montreuil dont je parlerai bien sûr très bientôt. Pour la première fois cette année, le 22DesignersShow sera ouvert au grand public.

Ce sera la double occasion de découvrir une autre forme de création contemporaine, flirtant bien souvent avec l'art contemporain et ici, avec l'installation, et notamment au travers du "speed motif", sorte de jeu contre la montre où les designers entreront en compétition pour créer les motifs les plus fous, mais aussi de venir voir ce nouveau lieu qui va compter, un espace de 1700 m2 entièrement dédié à la création!

 

ce sera ICI, au 135 boulevard de Chanzy à Montreuil (métro Croix de Chavaux ou Robespierre, ou bus 102)

du 5 au 14 octobre 2012 - Vernissage public le 5 octobre à partir de 17h avec une performance culinaire de Bruno Vialat (que je recommande chaudement pour avoir déjà testé)

 

Les 22 designers:

La Maison de Liouba, Leitmotiv, Claire Leina, CDMB Designers, Jeanne Boyer, Nanük Design, Alice Leblanc Laroche, Hélène Barrier, Mass Confusion, Négare, Studio Lalo Retsgen, Céline Chapelain, Lyida raev, Pica Pica, The Viola Institute, Marie Wagner, Julien Colombier, Tristan Bonnemain.

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 00:04

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"Bois de poche" - Marie-Hélène Richard- (détail)

 

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"Le bon coin" - Dimitri Xenakis -

 

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"le temps du silence"- Gabriela Morawetz- (détail)

 

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"Skiff"- Juliette Jouannais

 

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"Le voile de la mariée" - Sandrine Pincemaille

 

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"Il était une fois" - Sylvie Kaptur-Gintz

 

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sans titre- Vincent Mauger

 

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"L'hypothèse d'un puits"- Dominique Bailly

 

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"Le bon coin" - Dimitri Xenakis

 

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"Bois de poche" - Marie-Hélène Richard

 

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"L"hypothèse d'un puits" - Dominique Bailly - (détail)

 

 

 

 

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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 21:59

Oeuvre de Wela installée dans le Parc de l'Europe

 

"Couronne d'épines"

 

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Au cœur du Parc de l’Europe, un arbre est ceint d’une spectaculaire couronne d’épines, dont le rouge écarlate contraste avec les tons printaniers qu’a pris le parc. Cette couronne d’épines, emprunté au christianisme,  symbolise pour Wela à la fois la vivacité de la nature, qu’elle envisage comme une création plus complexe encore que peut l’être celle d’un artiste, l’image d’une nature en souffrance, et la nécessité d’en prendre la défense et de la protéger.     L’œuvre de Wela, parfois immergente, souvent monumentale, investit les espaces publics avec une certaine grâce et une intelligente poésie. Ses créations métaphoriques laissent toujours la porte ouverte à l’interprétation, laissant libre cours à la subjectivité vécue et ressentie.

 

"Jardins en métamorphose" - Du 11 mai au 15 juillet 2012 - Ville de Thiais (94)

http://www.facebook.com/#!/Jardinsenmetamorphose

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